Un «explorateur» qui se bat contre le cancer du système
5 mai 2017 |Josée Blanchette | Actualités en société | Chroniques
Il ne veut pas que je lui donne du « docteur » ni du « courageux ». Et chez lui, en France, on dit encore « cancérologue » alors que chez nous, on a préféré se référer à la racine grecque « onco » (tumeur), qui fait moins peur mais glace toujours les globules rouges. J’ai devant moi un scientifique, un homme réfléchissant à l’extérieur des cadres et une tête forte qui a donné sa vie pour que la vérité voie le jour : « La mortalité des cancers chez les adultes n’a à peu près pas diminué depuis 60 ans — 0,5 % — si on tient compte du vieillissement et de l’accroissement de la population ! Les avancées thérapeutiques ne sont pas à la hauteur. » Bang.
Depuis son diplôme en radio-oncologie obtenu à Harvard il y a plus de 30 ans, le Dr Schwartz junior — fils du doyen de la Faculté de médecine de Strasbourg — n’a pas chômé.
Mais il s’est rapidement rendu compte du peu de succès des traitements proposés d’emblée aux patients sous le terme de « protocoles ». Si des gains avaient été faits en leucémie infantile, on ne peut en dire autant pour la majorité des cancers chez les adultes.
En 1995, il faisait son coming out avec son premier pavé dans la mare, Métastases. Vérités sur le cancer. Laurent Schwartz y dénonçait l’inefficacité des chimiothérapies, des traitements qu’il compare à une médecine de guerre, d’une grande violence. « Le lendemain, je recevais une interdiction professionnelle », laisse-t-il tomber. Il a retrouvé son droit de pratique quelques années plus tard après un procès musclé, une réinsertion « de façade », comme il dit.
Aujourd’hui, il traite gratuitement, seulement des cas désespérés, des cancers du pancréas métastatiques qui n’ont que Dieu ou leur maman vers qui se tourner. Son ordre professionnel le poursuit aussi pour cela, même s’il considère que c’est de l’assistance à personnes en danger.
À titre de médecin et de chercheur à l’Assistance publique des hôpitaux de Paris, le Dr Laurent Schwartz a sacrifié 20 000 souris en six ans et sauvé la vie de bien des humains que la médecine conventionnelle condamnait. Ce cancérologue hors norme est passé chez nous cette semaine, de façon quasi anonyme, alors que son dernier livre, Cancer. Un traitement simple et non toxique, s’est vendu à plus de 50 000 exemplaires dans l’Hexagone l’automne dernier. Et pour cause. Il y donne « sa » recette (dont il ne pense pas qu’elle soit miraculeuse, mais « prometteuse »), inspirée des travaux du Prix Nobel de médecine Otto Warburg, dans les années 1920, et appuyée sur la piste métabolique plutôt que génétique. Même s’il existe des milliers de publications sur ce sujet, du côté de ses pairs, ce fut le silence institutionnel d’usage : « Aucune critique sur le fond. On sait que c’est déjà prouvé. Cela a tout simplement été écarté pour des méthodes plus agressives. » Et payantes…
Médecin maudit
Le Dr Schwartz n’a rien d’un savant fou ou d’un narcissique en quête de projecteurs aveuglants. Il ne se définit pas comme un docteur alpha, plutôt comme « le gars ben ordinaire » de la chanson de Charlebois. Et c’est l’oncologue que vous souhaiteriez croiser dans votre parcours labyrinthique de patient lorsque tout a échoué, et même avant.
La cellule cancéreuse carburant au glucose (dix fois plus qu’une cellule normale), il insiste sur l’importance de l’alimentation dans le traitement et recommande à ses patients la diète cétogène (70 % à 90 % de lipides, pauvre en glucides). Certains y arrivent, d’autres pas.
Il ajoute également deux suppléments disponibles en pharmacie ou sur Internet (acide lipoïque et hydroxycitrate), dont il donne le dosage précis dans son ouvrage.
« Rien n’est compliqué. Le cancer pas plus que les autres maladies. Mais il est plus simple de suivre le système… » D’ailleurs, le Dr Schwartz soutient que ce système économique du cancer, inefficace et trop coûteux, n’en a plus pour très longtemps. Il le compare au mur de Berlin, qui a fini par tomber.
Depuis 20 ans, le docteur s’entoure d’équipes de physiciens, de biologistes, de mathématiciens, et en appelle sur son site à ses collègues qui voudraient établir « une communauté médicale ouverte » et partager leurs connaissances entre eux, en source ouverte.
De connivence avec le professeur au Département de génie chimique à Polytechnique Montréal, Mario Jolicoeur, il explore. Celui-ci a fait sa thèse de maîtrise sur des composantes de chimiothérapie et est passé par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) pour en apprendre sur le métabolisme cellulaire. Ils tentent de modéliser la thérapie « schwartzienne » sur le plan métabolique. « Cette piste existe depuis 100 ans, souligne le prof Jolicoeur. Mais là, on voit les chercheurs s’y réintéresser. »
Médecine intégrative
« Il y a longtemps que le cancer aurait pu, si ce n’est être guéri, tout au moins être maîtrisé, écrit le Dr Schwartz. C’est nous qui l’avons rendu compliqué. Le trop-plein d’argent et le politiquement correct ont fait le reste : ils ont tué la vraie recherche. »
Et le projet de recherche du médecin parisien est peut-être mort et enterré avec ses souris. On ne lui accorde pas le droit de passer à la phase clinique et de tester son traitement sans effets secondaires et peu coûteux sur de vrais malades.
N’acceptant pas le statu quo, le Dr Schwartz évoque un « système vaseux » où « scientifiquement, rien n’est solide » et « ces thérapies dont on ne peut dire que du bien et penser autre chose ».
« Il y a beaucoup de foutaise en médecine traditionnelle et en médecine douce, dit-il. Mais la mise en commun peut être très efficace. Il existe des charlatans des deux côtés, mais une voie royale entre les deux. »
Le mot « violence » est revenu souvent au fil de notre échange. Il a vu des patients dont la vie fut brisée par les traitements, en état de choc post-traumatique. Il les amène ailleurs avec un certain succès, considérant la lourdeur des cas.
Tout en broutant ma salade, je l’observe s’attaquer à sa pièce de boeuf, beurrer généreusement sa baguette et y ajouter du gros sel en plus. J’ose une question narquoise : « La prévention, ça ne vous dit rien ? » Il me regarde, amusé : « Moi, c’est le curatif, mon truc ! »
En voilà un qui croit en sa propre médecine, c’est presque rassurant !
Le Dr Laurent Schwartz donnait une conférence cette semaine à l’invitation de l’OSBL Croquer la vie, de même qu’au Laboratoire de génie métabolique appliqué de Polytechnique Montréal.
Dévoré le dernier livre du Dr Laurent Schwartz, Cancer. Un traitement simple et non toxique. Cette plaquette d’une centaine de pages relance le débat autour des traitements et explique très clairement la piste métabolique et la mitochondrie (respiration cellulaire). Pour suivre le Dr Schwartz et lire, surtout, les nombreux témoignages des patients, c’est ici.
Savouré sur une plage, cet hiver, l’essai Mes mille et une nuits du philosophe et chercheur Ruwen Ogien, sur « la maladie comme drame et comme comédie ». Atteint d’un adénocarcinome canalaire pancréatique (un cancer jugé gravissime), l’auteur nous fait pénétrer dans l’intimité psychologique de la maladie avec un humour caustique et une distance critique à la fois balsamique et littéraire. Il souligne notre propension au dolorisme, ces bénéfices intellectuels et moraux que nous pouvons tirer de la maladie et de la souffrance. Toute l’attitude des soignants et celle des malades est implicitement calquée sur cette approche nietzschéenne du « ce-qui-ne-te-tue-pas-te-fortifie ».
Depuis son diplôme en radio-oncologie obtenu à Harvard il y a plus de 30 ans, le Dr Schwartz junior — fils du doyen de la Faculté de médecine de Strasbourg — n’a pas chômé.
Mais il s’est rapidement rendu compte du peu de succès des traitements proposés d’emblée aux patients sous le terme de « protocoles ». Si des gains avaient été faits en leucémie infantile, on ne peut en dire autant pour la majorité des cancers chez les adultes.
En 1995, il faisait son coming out avec son premier pavé dans la mare, Métastases. Vérités sur le cancer. Laurent Schwartz y dénonçait l’inefficacité des chimiothérapies, des traitements qu’il compare à une médecine de guerre, d’une grande violence. « Le lendemain, je recevais une interdiction professionnelle », laisse-t-il tomber. Il a retrouvé son droit de pratique quelques années plus tard après un procès musclé, une réinsertion « de façade », comme il dit.
Aujourd’hui, il traite gratuitement, seulement des cas désespérés, des cancers du pancréas métastatiques qui n’ont que Dieu ou leur maman vers qui se tourner. Son ordre professionnel le poursuit aussi pour cela, même s’il considère que c’est de l’assistance à personnes en danger.
À titre de médecin et de chercheur à l’Assistance publique des hôpitaux de Paris, le Dr Laurent Schwartz a sacrifié 20 000 souris en six ans et sauvé la vie de bien des humains que la médecine conventionnelle condamnait. Ce cancérologue hors norme est passé chez nous cette semaine, de façon quasi anonyme, alors que son dernier livre, Cancer. Un traitement simple et non toxique, s’est vendu à plus de 50 000 exemplaires dans l’Hexagone l’automne dernier. Et pour cause. Il y donne « sa » recette (dont il ne pense pas qu’elle soit miraculeuse, mais « prometteuse »), inspirée des travaux du Prix Nobel de médecine Otto Warburg, dans les années 1920, et appuyée sur la piste métabolique plutôt que génétique. Même s’il existe des milliers de publications sur ce sujet, du côté de ses pairs, ce fut le silence institutionnel d’usage : « Aucune critique sur le fond. On sait que c’est déjà prouvé. Cela a tout simplement été écarté pour des méthodes plus agressives. » Et payantes…
Médecin maudit
Le Dr Schwartz n’a rien d’un savant fou ou d’un narcissique en quête de projecteurs aveuglants. Il ne se définit pas comme un docteur alpha, plutôt comme « le gars ben ordinaire » de la chanson de Charlebois. Et c’est l’oncologue que vous souhaiteriez croiser dans votre parcours labyrinthique de patient lorsque tout a échoué, et même avant.
La cellule cancéreuse carburant au glucose (dix fois plus qu’une cellule normale), il insiste sur l’importance de l’alimentation dans le traitement et recommande à ses patients la diète cétogène (70 % à 90 % de lipides, pauvre en glucides). Certains y arrivent, d’autres pas.
Il ajoute également deux suppléments disponibles en pharmacie ou sur Internet (acide lipoïque et hydroxycitrate), dont il donne le dosage précis dans son ouvrage.
« Rien n’est compliqué. Le cancer pas plus que les autres maladies. Mais il est plus simple de suivre le système… » D’ailleurs, le Dr Schwartz soutient que ce système économique du cancer, inefficace et trop coûteux, n’en a plus pour très longtemps. Il le compare au mur de Berlin, qui a fini par tomber.
Depuis 20 ans, le docteur s’entoure d’équipes de physiciens, de biologistes, de mathématiciens, et en appelle sur son site à ses collègues qui voudraient établir « une communauté médicale ouverte » et partager leurs connaissances entre eux, en source ouverte.
De connivence avec le professeur au Département de génie chimique à Polytechnique Montréal, Mario Jolicoeur, il explore. Celui-ci a fait sa thèse de maîtrise sur des composantes de chimiothérapie et est passé par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) pour en apprendre sur le métabolisme cellulaire. Ils tentent de modéliser la thérapie « schwartzienne » sur le plan métabolique. « Cette piste existe depuis 100 ans, souligne le prof Jolicoeur. Mais là, on voit les chercheurs s’y réintéresser. »
Médecine intégrative
« Il y a longtemps que le cancer aurait pu, si ce n’est être guéri, tout au moins être maîtrisé, écrit le Dr Schwartz. C’est nous qui l’avons rendu compliqué. Le trop-plein d’argent et le politiquement correct ont fait le reste : ils ont tué la vraie recherche. »
Et le projet de recherche du médecin parisien est peut-être mort et enterré avec ses souris. On ne lui accorde pas le droit de passer à la phase clinique et de tester son traitement sans effets secondaires et peu coûteux sur de vrais malades.
N’acceptant pas le statu quo, le Dr Schwartz évoque un « système vaseux » où « scientifiquement, rien n’est solide » et « ces thérapies dont on ne peut dire que du bien et penser autre chose ».
« Il y a beaucoup de foutaise en médecine traditionnelle et en médecine douce, dit-il. Mais la mise en commun peut être très efficace. Il existe des charlatans des deux côtés, mais une voie royale entre les deux. »
Le mot « violence » est revenu souvent au fil de notre échange. Il a vu des patients dont la vie fut brisée par les traitements, en état de choc post-traumatique. Il les amène ailleurs avec un certain succès, considérant la lourdeur des cas.
Tout en broutant ma salade, je l’observe s’attaquer à sa pièce de boeuf, beurrer généreusement sa baguette et y ajouter du gros sel en plus. J’ose une question narquoise : « La prévention, ça ne vous dit rien ? » Il me regarde, amusé : « Moi, c’est le curatif, mon truc ! »
En voilà un qui croit en sa propre médecine, c’est presque rassurant !
Le Dr Laurent Schwartz donnait une conférence cette semaine à l’invitation de l’OSBL Croquer la vie, de même qu’au Laboratoire de génie métabolique appliqué de Polytechnique Montréal.
Sauver sa peau L’excellent documentaire Surviving Terminal Cancer (« Survivre à un cancer en phase terminale ») est à voir par toute personne qui veut comprendre les étapes des études cliniques, des protocoles, du système dans lequel sont coincés médecins (comme le Dr Schwartz) et patients (qui en font les frais) lorsque vient le moment de choisir la piste de guérison appropriée. Grâce à Internet, des individus condamnés par la médecine conventionnelle s’organisent à l’insu de leurs médecins et échangent connaissances, tuyaux et médicaments (négligés mais ayant fait l’objet d’études) à l’international pour guérir par eux-mêmes. Tout un marché noir est né par solidarité. Et vive la dissidence !
Les exemples cités — des cas de glioblastomes au cerveau — sont spectaculaires et ces patients désespérés, mais acharnés, sont devenus leurs propres spécialistes. Le film fait parler des chercheurs, des patients-experts mais aussi des médecins révoltés par ce système contraignant qui ne favorise pas la découverte d’une cure pour le cancer, bien au contraire. « Je ne sais pas comment un neuro-oncologue peut se regarder dans le miroir le soir en sachant que ses patients vont mourir avec la radiothérapie et la chimio », dit un patient qui s’est automédicamenté avec succès et en utilisant une dizaine de médicaments hors protocole. Gratuit et sous-titré en français. Un must !
Dévoré le dernier livre du Dr Laurent Schwartz, Cancer. Un traitement simple et non toxique. Cette plaquette d’une centaine de pages relance le débat autour des traitements et explique très clairement la piste métabolique et la mitochondrie (respiration cellulaire). Pour suivre le Dr Schwartz et lire, surtout, les nombreux témoignages des patients, c’est ici.
Savouré sur une plage, cet hiver, l’essai Mes mille et une nuits du philosophe et chercheur Ruwen Ogien, sur « la maladie comme drame et comme comédie ». Atteint d’un adénocarcinome canalaire pancréatique (un cancer jugé gravissime), l’auteur nous fait pénétrer dans l’intimité psychologique de la maladie avec un humour caustique et une distance critique à la fois balsamique et littéraire. Il souligne notre propension au dolorisme, ces bénéfices intellectuels et moraux que nous pouvons tirer de la maladie et de la souffrance. Toute l’attitude des soignants et celle des malades est implicitement calquée sur cette approche nietzschéenne du « ce-qui-ne-te-tue-pas-te-fortifie ».
bonjour,
Ma mère a eu 4 cancers depuis mars 2012 : colon, péritoine (dont un traitement par CHIP) sien, gauche puis droite et maintenant nodule au foie et rachis.
évidemment son oncologue ne veut pas entendre parler de vos études et du livre que je l’ai lu et lui ai présenté, car les études ne sont pas déposées et validées… bref
ma mère repart pour de la chimio et je cherche donc un oncologue en Ile de france délivrant ce traitement afin de le rencontrer avec ma maman .
c’est une battante !
Bonjour,
J’ai essayé mais en vain de joindre le docteur Schwartz en téléphonant à plusieurs hôpitaux de Paris, à son cabinet. Je n’ai pas toujours été bien reçue…bilan : il est introuvable.
J’ai des amis, directeurs tous les 2 d’un labo de recherche; ils connaissent évidemment bcp de médecins mais pas Schwartz qui aurait eu des problèmes avec le conseil de l’ordre .
En tout cas, il est introuvable.
« Schwartz qui aurait eu des problèmes avec le conseil de l’ordre »
À se demander si vous avez lu l’article en dessous duquel vous postez…
Bonjour
Cancer carcinome inflammatoire du sein
Comment joindre le docteur laurent Schwartz. ?
Milles mercis pour votre reponse à venir
Bien cordialement
Consultez vous Dr. 06 73 43 95 63
Dominique region Montpellier 6/1/18 Tumeur volumineuse sigmoid,metastase poumons sous traitement Vectibix uniquement, semble bien aider les poumons, maintenant fistule intestin/vessie..presque impossible d evacuer normalement… HELP svp
Bonjour,
Je cherche désespérément à vous joindre Docteur Schwartz …consultez vous et où?
D’avance merci de me repondre et sincères salutations
Mme LELEU
0616579303
Que faut til faire contre le cancer du collon
Ca bouge beaucoup chez les anglo-saxons, allez voir sur Facebook la page « Cancer as a metabolic disease », il y a une conférence (en anglais) du Dr Thomas Seyfried qui soutient aussi la piste métabolique.
Il faut que ça bouge !!!
J’ai essayé de vous joindre, j’ai essayé votre traitement,je suis allée faire d’autres thérapies à l’étranger, la tumeur n’a cessé de grossir à la base du cou, j’ai d’autres ganglions au dessus qui enflent. Les douleurs et les brûlures sont devenues insupportables alors je suis allée à l’institut Bergonié à Bordeaux où je commence une chimio systémique lundi. Pour moi c’est la fin !
J’ai lu vos livres et j’admire votre travail. Je fais le régime cétogène depuis un an.
J’ai juste envie que la douleur cesse. Je ne sais plus rien du tout ayant fait de mon mieux depuis 4 ans, date de mon opération sur l’amygdale droite. J’avais refusé les traitements classiques. Maintenant je n’ai plus la force de chercher d’autres solutions.
Continuez à combattre ce système pourri que je combats aussi à ma façon depuis longtemps !
madame
la chimiotherapie a sa place dans le traitement de ce type de tumeur
Laurent
Bonjour Docteur Schwartz
J’ai 49 ans et un cancer du poumon carninome épidermoide + adénocarcinome et je lutte depuis 3 ans maintenant.
chimio + radiothérapie puis lobectomie supérieure droite puis rechimio puis reradiothérapie pour les métastases osseuses puis maintenant Immunothérapie depuis peu. J’ai suivi à la lettre le cure de Breuss en juillet 2016 car j’y croyais mais je n’ai pas eu les résultats escomptés.Pouvez vous m’aider ? ou pouvez vous m’orienter vers un confrère. J’ habite dans la région Nord Pas De Calais.
Vous pouvez me contacter pour de plus amples renseignements.
Merci pour votre aide. Cordialement Frédérique Ratel
Bonsoir,j’ai voulu montrer au chirurgien de Huguenin q’un regime sans sucre avat pratiquement détruit mes deux cancers au sein. Mon idée était qu’il participe au souhait du dr Schwartz à savoir, suivre des malades avec sa méthode avant de proposer des ablations.
J’ai rêvée . Un chirurgien ne connaît que les opérations…
en regardant le dernier compte rendu de l’IRM sans curiosité des images comparatives, il m’a dit » il faut tout de même faire l’ablation, le cancer est toujours la. Si un regime sans sucre supprime le cancer ça se saurait, je vous rayé de mes consultations. Mais si vous changez d’avis , je suis disposé à vous opérer »
Moralité surtout ne pas s’adresser aux chirurgiens sans avoir consulté dès oncologues
Désolée docteur j’ai manqué mon coup . Il ne faut pas chercher de partenaires parmi les chirurgiens.
tout va évoluer mais moins vite que je ne l aurais souhaité
Laurent
MR LAURENT SCHARTZ VOUS NOUS MANQUER NOUS AVONS TOUS BESOIN DE VOUS NOUS VOUS CHERCHONS AFIN QUE NOUS PUISSIONS TOUS ABOLIR CES DICTATS FINANCIERS QUI NOUS FONT TOUS MOURIR A PETIT FEU AU NOM DE LA FINANCE. J’AI UN CANCER MÉTASTASE POUMON, OS SURRÉNALE ET NOUS VOUS ATTENDONS TOUS QUE VOUS REVENIEZ? AUPRÈS DE VOS MALADES .
Mr LAURENT MERCI POUR CE QUE VOUS FAITE, NOUS SOMMES TOUS AVEC VOUS.
Pourquoi ne pas présenter Dr Schwartz à Tout le monde en parle??
J’en suis à mon 3e cancer du sein et je cherche désespérément un médecin en Alsace qui puisse me guider pour un tel traitement
merci de votre réponse
Bonsoir,
Ne chercher pas sur Colmar…
A ma connaissance, il n’y a pas de médecin suffisamment courageux qui acceptera de se remettre en question.
Je sais de quoi de parler (cancer des VADS T3 N2c M0).
Je m’en suis sorti, notamment, grace au livre du doc. SCHWARTZ.
Bien à vous,
Merci d’avoir parlé de « violence »:usée par 9 cures de chimio et une recidive puis 7 cures je me sentirais minable de ne plus pouvoir supporter la vue d’un hôpital si j’écoutais ce qui m’est dit.j’ai décidé d’arrêter et je vais bien,très bien même ,pourtant j’étais supposée continuer encore.je prends des gélules de plantes de médecine chinoise.
Bonjour monsieur,
Je suis belge et je voudrais savoir s’il existe des médecins en Belgique qui accompagnent les patients suivant vos méthodes ?
Merci beaucoup pour votre réponse si vous en avez le temps.
Karin
D’ailleurs, ci joint le lien du film en question, https://www.survivingterminalcancer.com/
avec les sous titres FR, un film qui comme le livre de B.W et ma rencontre avec Laurent m’aide bcp pour préserver la stabilité de ma tumeur gbm. L’automédication est aussi ce que je fais en me renseignant un max depuis 2 ans, avec un cocktail ressemblant à celui de B.W et de Rich, sauf pour les médicaments(chlorochine, tamoxifene, accutane .. que je ne prends pas ou plus)
Merci
Frédéric
il y a les sous titre également sur le premier lien, pardon 😉
bonjour,Docteur schwartz;
c’est pour nous malades du cancer pour qui les traitements (conventionnels)ne nous donne peu d’optimisme ;un espoir de voir un grand Professeur qui nous accorde toute son intention,encore merci
Bonjour Laurent
Nous sommes avec vous !
Un jour les événements évolueront de manière plus favorable pour vos recherches et pour les patients.
Peut-être devrions nous aussi, familles de patients, en revendiquer plus publiquement ce droit en exigeant le changement de système !
Bonne journée à tous
Coco
J’avais écouté le témoignage de Ruwen Ogien lors d’une émission littéraire et il m’avait très émue par son criant de vérité. … je m’étais demandée s’il connaissait le régime cetogene et le traitement méta …..j’ai eu beaucoup de peine en apprenant son décès jeudi dernier.
Vous êtes un grand Homme Docteur Schwartz, un Homme hors du commun, merci pour tout ce que vous faites pour les malades, les aidants et votre combat contre les cancers!!!!
Votre traitement et approche doit être reconnue : nous ménerons le combat pour cela nous famille de patients!
j ai les chevilles qui enflent
Laurent
Bonsoir Docteur,
Je viens aux nouvelles.
Six mois après, comment vont vos chevilles ?
Je parle de vous, tous les deux jours, autour de moi (médecin y compris).
Une fois encore, merci pour votre combat, merci pour nous.
PS. : demain midi, j’ai rendez-vous avec ma radiothérapeute…RRrrrrr… elle m’avait traité, il y a 10 mois, de fou. Je n’étais pas médecin, je faisais n’importe quoi en suivant vos préconisations, etc etc….
Mon espérance de vie était alors limitée à trois mois selon les médecins.
J’ai rencontré mon oncologue 1 fois, durant le traitement. Il s’était contenté de me regarder avec de grands yeux vides…. Un an après, je reste sans nouvelle de sa part….
Force est de constater que je suis toujours présent. Ce soir, j’ai couru 1h à une moyenne de 11,2 km/h. Septembre 2018, j’espère être en forme pour un semi-marathon.