Cet article relate une expérience personnelle, il ne doit en aucun cas être pris comme exemple, sans un avis et un suivi médical, chaque cas étant différent.
Au printemps 2011, après plusieurs scanners et autres investigations, le cancérologue d’une Clinique située à Saint Saint-Nazaire, annonce « en toute honnêteté » et avec professionnalisme à Monsieur Mohamed S.. qu’il a un cancer du pancréas, dont le pronostic n’est pas bon.
A la question immédiate du patient : « quel traitement pour me guérir ? quelles sont mes chances ? », le couperet tombe : « je vais être honnête avec vous …il existe des traitements chimiothérapiques…mais ils sont lourds…très lourds et de plus, sans véritables résultats… Et en admettant que l’on procède à une chimio, cela ne vous permettra que de prolonger votre vie de quelques mois… »
Le patient insiste : « et une opération ?»
Le médecin : « Une intervention chirurgicale n’est absolument pas envisageable, car la tumeur se trouve derrière d’autres organes et elle est inaccessible…. Sachez que je suis là pour vous aider à souffrir le moins possible et on mettra tous les moyens, en œuvre pour vous soulager au maximum. Par ailleurs, vous m’appelez quand vous voulez, je reste à votre disposition ».
Donc, combien de temps ? « Six mois environ. »
Le patient repart chez lui avec cette nouvelle terrible, persuadé de l’issue fatale et imminente, et après réflexion, prend la décision de ne pas se soigner, et de profiter des mois qui lui restent pour mettre ses affaires en ordre.
Quatre mois plus tard, son entourage remarque qu’il n’y a pas de dégradation visible de son état de santé, et le convainc de procéder à de nouvelles investigations. Mr Mohamed S. contacte alors le docteur Schwartz par l’intermédiaire de sa sœur, Madame F. Pavan qui réside à Paris.
Il lui fixe un rendez-vous à l’hôpital où il exerce, dans les 48 heures après l’appel, et après avoir pris connaissance du dossier, procède à de nouvelles investigations.
Le Docteur SCHWARTZ informe Mohamed S., qu’il n’a pas de cancer, mais qu’il s’agit vraisemblablement d’une pancréatite aigüe, qu’il est nécessaire de soigner et d’opérer. Ce qui fut fait.
Quinze jours après Mr Mohamed S.. est reparti dans sa Bretagne, soulagé.
Depuis près de 5 ans, il se porte bien et mène une vie tranquille, comme tout le monde.
Si le docteur Schwartz n’était pas intervenu, Mohammed S. serait bel et bien mort, puisqu’il m’avait confié que connaissant la date limite de sa vie, il avait prévu d’y mettre fin, avec les moyens qu’il avait préparés – je n’ai jamais su lesquels… !
Récit relaté par Madame F. Pavan , sœur du patient Monsieur Mohamed S.
comment on peut faire une différence entre cancer de pancréas et pancréatite aigüe
Bonjour !Vous avez de la famille dans le sud de la France…?Merci
bonjour, pouvez vous m’indiquer comment et dans quel hôpital il exerce?car j’ai un cancer du pancréas mais opéré depuis 2013
mariejo1033@gail.com
Bonjour, ma soeur vient d être diagnostiquer cancer du pancréas , elas pas opérable, je cherche désespérément une alternative car elle a seulement 55 ans et ne peu croire qu’il n’y a plus rien à faire pour elle,
Elle veut se battre mais ne sait pas vers qui se tourner , est ce possible de voir Dr Schwartz ? Où est situé sa clinique?
Voici mon courriel : mdubelacostumiere@gmail.com
514885-9111
Merci de me revenir avec une réponse
S’il vous plait puis je avoir votre adresses e-mail
..mais comment donc Madame Pavan a-t-elle pu prendre rendez-vous avec le Professeur Schwartz ? Où? Quel secrétariat en ce début de 2017?
Merci d’avance de votre information !
Ce n était certainement pas une pancréatite aiguë! !,,,chronique à la rigueur , le malade se serait tordu de douleurs ! ,,,,cordialement
Je ne comprends même pas comment ça peut être possible… Quels examens avaient permis d’établir le premier diagnostic svp ?
Si ma mémoire est bonne une « saligraphie » échographie du canal de Sténon. Puis au bout de 2 ans scanners et en finale IRM
vraiment scandaleux
Malheureusement des erreurs de diagnostics il y en a très souvent. Dans le doute il faut toujours demander un second avis. J’en parle en connaissance de cause. On m’avait indiqué que j’avais des calculs salivaires pendant 3 ans malgré des examens dont une IRM mal interprétée. Résultat du second avis : Madame au vu des documents je pense que vous avez une tumeur cancéreuse. Comment mes confrères ne l’ont pas vu ?? Conclusion adénocarcinome tumeur 2,5 cm sur 1,5 cm et 10h d’opération…car les nerf facial et auditif étaient sur le point d’être touchés.Petites séquelles grâce à la compétence du chirurgien !!!
ça fait peur !!!
pas surprenant, vu le temps consacré en moyenne à un patient par la médecine « officielle ».
d’où l’intérêt de demander un second avis, mais le problème c’est que dans cette situation, on est désarmés.
Mon Dieu !!!
Ce témoignage devrait faire le tour des instituts et établissements de lutte contre le cancer. J’imagine que le cas de Monsieur Mohamed S. n’est pas unique, loin, de là !